Voici quelques-unes de leurs impressions après le spectacle de Jonathan Capdevielle, Rémi (adaptation du roman Sans famille d’Hector Malot) :

J’ai retenu la tristesse de Rémi (qui n’a pas de famille), la drôlerie de Joli-Cœur, la mort de Vitalis, la brume et le tonnerre (son et lumières qui clignotent), les ambiances créées (bar par exemple)…

Je me souviens de la méchanceté de Père Barberin et de Garofoli, d’un sac à dos faisant de la musique, de l’amour de Mère Barberin, de certaines chansons, de Rémi jouant avec Capi et Joli-Cœur devenus des marionnettes (ventriloquie), d’Arthur, de Rémi embrassant Lise (la poupée aux yeux rouges), des lumières tombant sur Vitalis et Rémi (lumières symbolisant le froid qui s’abat sur les corps)…

Ce qui m’a surpris(e), c’est la musique, c’est d’entendre Capi et Joli-Cœur parler du virus Covid-19, c’est de voir Rémi boire les lumières…

Ce qui m’a fait peur, c’est la fumée, c’est le personnage de Lise (marionnette aux yeux rouges)…

Ce qui m’a fait rire, ce sont les improvisations de la troupe, le personnage de Mère Barberin, le personnage de M^me Milligan et son attitude avec Capi…

J’ai été ému(e) quand Rémi a dû quitter sa mère adoptive, j’ai été ému(e) par la mort du singe…

J’ai aimé que Vitalis et sa troupe jouent pour les gens, j’ai aimé entendre Rémi chanter, j’ai aimé voir Vitalis sauver Mattia d’un homme violent, j’ai aimé le moment où Rémi, Arthur et M^me Milligan sont sur un bateau (ventilateurs), j’ai aimé voir Rémi prendre sa vie en main…

Je n’ai pas aimé voir mourir Joli-Cœur, je n’ai pas aimé Garofoli car il maltraite ses élèves, je n’ai pas aimé certains costumes (Rémi ressemblait à un clown par exemple)…