La Sucrière se trouve dans la quartier de Confluence. La Sucrière, ce sont deux gros bâtiments gris, c’est là où on stockait le sucre. Nous sommes entrés dans le bâtiment et les comédiens nous ont accueillis très chaleureusement. On nous a remis un carnet de voyage où étaient présenté le pays et les personnages. Sur le carnet, étaient inscrites les différentes étapes de notre voyage, où nous devions nous rendre. Nous devions écrire ce que nous avons fait, ce que nous avons compris concernant le pays.
Avant de commencer, nous avons regardé une vidéo où notamment, le Secrétaire général des Nations Unies nous expliquait les conséquences de nos actes et que des personnes n’ont rien comparé à nous.
Puis, dans la peau d’un personnage, au Cambodge, au Niger, au Cameroun, au Maroc, en Colombie, au Nigeria ou en Polynésie nous avons vécu son quotidien, ses questions et imaginer ses solutions.

C’était super, on a appris beaucoup sans avoir l’impression d’apprendre.

En classe, on a mis en commun nos expériences dans chaque pays et à l’oral on a présenté notre personnage et tout ce qu’il avait vécu. Ensuite, il fallait à partir du vécu des personnages préciser quels étaient les problèmes du pays.
Et tout cela, sans notes écrites… nous y sommes arrivés…

En Pièce jointe, un document vous permet de découvrir certains des personnages que nous avons incarnés.

Mathilde, Louise, Cédric

J’ai beaucoup aimé me mettre dans la peau d’un personnage, le comédien nous faisait vraiment imaginer qu’on était dans le pays.
J’ai beaucoup aimé les missions que nous devions accomplir, il fallait trouver des solutions à un problème.
J’ai aimé car c’était la réalité. Un moment, il pleuvait beaucoup , le comédien est arrivé trempé.
J’ai aimé car chacun part de son côté et a son histoire à vivre.
J’ai aimé le décor du pays.
J’ai aimé quand la dame du Maroc nous parlait arabe.
J’ai trouvé intéressant de savoir comment vivent les habitants des autres pays.
J’ai aimé jouer la comédie.
J’ai aimé quand on a dansé et chanté.
J’ai aimé le débat à l’école, il fallait essayer de convaincre.
C’était différent des autres expositions car là nous étions dans la peau d’une personne et je trouve qu’on apprend plus de choses de cette manière parce-qu’on le vit.
J’ai bien aimé prendre la place de mon personnage et découvrir son histoire.
J’ai beaucoup aimé car l’exposition était bien mise en scène et nous expliquait bien les problèmes de la Terre.
Ce qui m’a plus c’est d’apprendre comment d’autres gens font dans leur vie et je suis heureuse d’être née en France.
J’ai bien aimé faire un jeu et apprendre des choses et il y avait aussi le fait de partager leur culture.
J’ai beaucoup aimé cette exposition car elle paraît d’autres personnes qui ont du mal à vivre : elle était très instructive ; j’ai vraiment apprécié.
J’ai aimé les comédiens qui étaient très drôles.
J’ai aimé à la fin quand on a échangé nos graines des différents pays, j’ai trouvé ce moment très beau.
J’ai tout aimé mais en particulier l’échange graines et lorsqu’on est allé à la banque.
J’ai trouvé les graines de tournesol très bonnes.
C’était super cette exposition, je m’en souviendrai toujours, merci.

J’ai appris beaucoup de choses : nous n’avons plus que 15 ans pour réduire drastiquement les émissions de CO2, assurer la transition énergétique et réinventer notre façon de vivre pour éviter la fonte des glaces, le réchauffement climatique, la montée de la mer et des océans.
J’ai appris comment vit un enfant dans un bidonville à Casablanca
Et aussi ce qu’il mange : des graines du soleil (de tournesol) et pour Amin les crèpes de sa mère
J’ai appris qu’on a beaucoup de chances d’avoir de l’eau sans faire d’efforts
J’ai appris qu’au Niger, le taux de mortalité infantile est très élevée.
J’ai appris que dans le monde il y avait beaucoup de corruption, que certains ne pouvaient pas s’instruire à l’école.
J’ai appris que la pauvreté pousse parfois au crime comme l’ignorance.
J’ai appris que la Colombie est un pays pauvre et qu’il y a beaucoup de trafic de drogue.

Comme Manolo, Luis, Clara, Muna, Victor, Waïto, Nalin, Saron, Oudom, Méhiata, Tamatoa, Ilhoa, Adam, Nana, Mariama, nous sommes tous Nés quelque part.

C’est grâce à nous que la société peut changer.
Un monde meilleur ne se fait pas tout seul